Des milliers de Touaregs craignant des représailles sanglantes de l’armée se sont réfugiés dans des camps de fortunes dans les pays voisins. Ils s’y entassent comme pendant les précédentes révolutions touarègues espérant que cette fois, leur identité nomade et leurs coutumes millénaires seront reconnues et respectées. Aujourd’hui, cela semble compromis. Encore une fois, ils sont montrés du doigt comme les instigateurs des meurtres de nos 2 confrères.
Encore les boucs émissaires du désert ou ont-ils fait le choix l’enfer ?